Histoire de la philo et de la pensée politique

Histoire de la philosophe et de la pensée politique
Qu’est-ce que la mondialisation ?

Cosmopolitisme = Confiance de l’unité morale et politique de l’humanité. La réponse à la mondialisation c’est le cosmopolitisme.

On surculturalise les débats politiques et géographique aujourd’hui. Par exemple, les débats sur le voile.

La philosophie : question difficile. La philo n’a pas d’objetpropre par opposition à d’autres matières. La philo c’est de regarder différemment. C’est donc une méthode, un style de pensée qui va servir à penser les choses de manière différent. Elle n’a jamais de fin, pas de thème. Chaque philosophe, décide son style et son courant. Elle doit se nourrir d’autres sciences (histoire, économie, …, actualité).

Chapitre 1er : Mondialisation, système-monde

Unêtre humain,… c’est une subjectivité, la loi d’un corps qui a des besoins et des désirs qui passent essentiellement par trois organes sensoriel : le geste (vie), la main pour fabriquer (travail), la bouche pour parler (langage).
Ces trois pôles existentiels ne sont activés que si l’homme se projette dans le monde. Il faut au moins allé frapper en face pour trouver une femme, se projeter dans lemonde. Pour se nourrir, l’être humain a besoin de la coopération et l’échange seul il ne peut le faire assez longtemps. Pour communiquer il faut se lier aux autres. On passe par des rapports sociaux (économiques, médiatiques = système de production et de transmission de l’information = livre, chant, …).
Il y a trois sens à la mondialisation:
1) Anthropologique :

Reproduction Sexe Vie ParentéSubsistance Main Travail Économie
Communication Bouche Langage « médias »

2) Ontologique : l’être humain ne peut pas vivre si il ne projette pas son monde dans le monde.

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On peut analyser tout l’être humain par le sexe (FREUD) ou le travail (Marx).
Le travail et le langage (tout est langage : Saussure) son deux phénomène solidaire. L’acquisition de la station verticale ///
Apermis a la main de se libérer a pour conséquence l’hypertrophie du cerveau de l’homme. La main (parole) et la bouche (geste) ont donc suivi une modification symbolique, qui les on rendu « directement » sociales. Ils sont tjrs indissociables.
Le geste et le langage sont dans la culture. On ne rie pas de la même manière d’un pays à l’autre. Mais le sexe est resté grosso modo le même donc il n’a pasde dimension sociale par opposition aux deux autres. On peut avoir le sexe seule. Parler seul n’est pas facile. Donc le sexe est une « passion égoïste » (Freud), une activité « a-sociale ». La maitrise de la sexualité ne passe pas par les signes mais directement par les individus. « Il n’y a pas de rapport sexuel »(Lacan).

Sigmund Freud : 1856-1939
– H = être de désir : ça
– refoulement :surmoi
– « compromis »
– excès pulsionnel

La vie sociale repose sur le refoulement d’une partie du désir, le désire est transférer ailleurs (c’est le départ de l’ho= désir) ou le limiter.
vie-travail-langage : on n’a besoin que de ça. On ne fait pas de société par nous même, on fait une mondialisation, c’est plus une société. Pour avoir une société, il faut du droit, du pouvoir. Il fautaussi un système militaire, diplomatique pour assurer les relations avec les autres (pouvoir politique qui organise l’interne et l’externe). Le droit et la politique = conditions de vie sociale.
La différence est de degré plutôt que de nature. L’ordre interne a besoin de rapport de force (violence). L’externe est codé.
Mondialisation : sens historique : toute société fait tjrs partie d’un champhistorique politique plus large avec lequel elle fait système. Donc toute société fait partie d’un système monde. Ce champ est systémique.
Aucun système ne peut marcher sans adhésion, sans croyances. Aujourd’hui, notre système social d’adhésion ce sont les valeurs : idéologies, religions.
Tout société appartient zone historique, économique, idéologique, chaque zone est un système monde.
.vie…